Quand on parle d’intelligence artificielle (IA), beaucoup pensent immédiatement à ChatGPT. Cet outil a marqué les esprits par sa capacité à répondre à des questions, rédiger des textes ou générer des idées. Mais réduire l’IA à ChatGPT, c’est comme réduire Internet à Google : une vision très incomplète.
L’IA, c’est avant tout une famille de technologies qui transforment déjà nos vies et nos entreprises :
ChatGPT n’est qu’un exemple parmi d’autres, centré sur le langage. Mais l’IA dépasse largement la simple conversation : c’est un levier stratégique de transformation économique.
Psychologiquement, notre cerveau a tendance à associer un concept complexe à l’exemple le plus visible (biais de disponibilité). ChatGPT étant médiatisé, il devient « l’IA par défaut ». Or, cette perception limite notre capacité à voir les opportunités réelles dans nos territoires.
Beaucoup de dirigeants de TPE/PME pensent que l’IA est réservée aux grandes entreprises. En réalité, il existe plusieurs dispositifs de financement pour rendre la démarche accessible :
En clair : l’investissement initial est largement réductible grâce aux financements publics et fiscaux, ce qui accélère le retour sur investissement.
Résultat attendu :sur 12 à 18 mois, les bénéfices nets dépassent largement les coûts, surtout pour des TPE où chaque heure gagnée et chaque client supplémentaire comptent.
L’IA, ce n’est pas « parler à une machine ». C’est optimiser le quotidien, gagner du temps et renforcer la compétitivité locale. ChatGPT n’est qu’un visage parmi d’autres d’une révolution beaucoup plus vaste.
Avec les dispositifs existants, les TPE/PME peuvent aborder l’IA sans frein financier majeur : la vraie question n’est donc plus « combien ça coûte ? », mais « combien ça rapporte de ne pas rester à l’écart ».
Veux-tu que je te prépare aussi une version simplifiée type post LinkedIn (300-400 mots avec accroche percutante et hashtags), pour relayer cet article auprès du grand public et des entrepreneurs locaux ?
L’intelligence artificielle (IA) suscite autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans le monde du travail. Ses impacts potentiels sur l’emploi, les compétences et l’organisation des entreprises nourrissent denombreux débats. Plusieurs institutions françaises, dont France Stratégie, France Travail et le Labo Société Numérique, ont récemment publié des analyses qui permettentd’éclairer les enjeux.
Deux grandes questions traversent le débat :
L’IA ne se limite pas à l’automatisation des tâches répétitives. Elle touche aujourd’hui des activités à forte valeur ajoutée : gestion de données, rédaction de contenus, analyse juridique, diagnostic médicaux, etc.
Selon France Stratégie, il ne s’agit pas d’une substitution brutale, mais d’une transformation progressive :
Le risque majeur identifié : un accroissement des inégalités entre les travailleurs qualifiés (qui bénéficient des nouveaux outils) et les moins qualifiés (plus vulnérables à l’automatisation).
Plutôt que de « remplacer » l’humain, l’IA peut devenir un outil de complémentarité. France Travail souligne que l’automatisation de tâches simples libère du temps pour les missions à forte valeur relationnelle, par exemple :
Ces évolutions ouvrent la voie à une revalorisation des métiers humains centrés sur l’empathie, la créativité et le jugement critique.
Le rapport du Labo Société Numérique insiste sur la nécessité de faire de l’IA un enjeu de dialogue social :
L’IA ne doit pas être perçue uniquement comme une menace pour l’emploi. Bien encadrée, elle peut contribuer à un travail plus qualitatif , en soulageant des tâches répétitives et en permettant aux salariés de se concentrer sur ce qui donne sens à leur métier.
Mais la clé de cette transition repose sur :
En somme, l’IA sera ce que nous en ferons : un risque d’exclusion, ou une opportunité collective de réinventer le travail.
Le 7 avril 2024, l’école ingénieur ESEO de Dijon accueillait la 5e édition du Datathon IA4Care, un événement unique en France, où professionnels de santé, développeurs, chercheurs et étudiants se retrouvent pour répondre à des défis concrets dans le domaine de la santé numérique.
Un véritable marathon de 48 heures où l’on code, échange, apprend, doute… et surtout, où l’on innove ensemble pour répondre à des problématiques de santé publique.
Parmi les participants de cette édition, Alexis, développeur en intelligence artificielle, aujourd’hui cofondateur de Tenkai.
Ancien infirmier, notamment en psychiatrie, pendant près de 10 ans, il a choisi tout naturellement de s’investir sur le défi PRAD : un projet ambitieux visant à détecter la douleur chez les patients atteints d’Alzheimer, en s’appuyant sur des signaux non verbaux. Une population souvent dans l’incapacité d’exprimer leur souffrance.
Ce défi était porté par le Dr Imad Sfeir, gériatre du réseau VYV3 Bourgogne, et Amine Bohi, enseignant-chercheur en informatique et IA au CESI.
Ce travail d’équipe a été récompensé par le Prix CHU Dijon Bourgogne, remis par Audrey Licandro et Jérémy Pageaux.
Une belle reconnaissance… mais qui au-delà du prix, c’est surtout la dynamique humaine et collaborative du datathon que nous retiendrons.
Remise du Prix CHU DIJON pour l’équipe PRAD. Photo A.M./LinkedIn
Ce type d’expériences fondatrices, comme celle-ci qui ont contribué, plus tard, à poser les premières pierres de ce qui deviendra Tenkai : une structure où l’IA est pensée avec et pour les professionnels de terrain.
Depuis 2023, l'intelligence artificielle est sur toutes les lèvres. Des outils comme ChatGPT, Midjourney ou DALL·E ont démocratisé la création de contenus numériques : chacun peut créer du texte, des images ou des vidéos en quelques secondes. Cette technologie dite générative fascine… mais son impact environnemental reste largement ignoré.
Chez TenkAI, nous formons les entreprises à intégrer l'IA de manière éthique, utile… et consciente. Car l'innovation ne peut se faire au détriment de notre environnement.
L'IA générative a un coût écologique. Et si on changeait nos usages ?
Dans le débat public, "IA" est souvent confondu avec "IA générative". Pourtant, l'intelligence artificielle est un domaine bien plus vaste : vision par ordinateur, détection de fraudes, maintenance prédictive, systèmes experts... Une fois entraînés, ces modèles consomment peu d'énergie à l'usage.
En revanche, les modèles génératifs (notamment les LLM comme GPT, Mistral, Claude…) restent énergivores à chaque requête. Chaque interaction nécessite d'importantes ressources de calcul, souvent hébergées dans des data centers internationaux.
Selon Mistral AI, l'entraînement d'un seul LLM peut consommer plusieurs centaines de MWh et générer des tonnes de CO₂.
Le problème : aucun utilisateur ne le voit. Pas de compteur. Pas d'alerte. Pas d'indicateur.
➝ Sans visualisation, pas de conscience. Sans conscience, pas de changement.
Limiter les interactions non essentielles avec les modèles d'IA générative
Réserver l’usage de l’IA aux tâches où elle apporte une réelle valeur
Utiliser des modèles adaptés à la tâche plutôt que des modèles généralistes surdimensionnés
Prendre conscience des ressources mobilisées par chaque requête
Nos formations incluent une sensibilisation à l’impact environnemental des IA génératives, avec des outils concrets pour visualiser cet impact.
Cet outil open source permet à chacun de :
Visualisation en temps réel de l’énergie utilisée par vos interactions avec l’IA
Conversion de la consommation énergétique en équivalent CO₂ pour une meilleure compréhension
Analyse comparative entre différentes plateformes (OpenAI, Mistral, Hugging Face…)
En tant qu’acteur engagé de la transition numérique en Bourgogne–Franche–Comté, nous faisons le pari qu’un autre usage
de l’IA est possible, aligné avec les valeurs de notre territoire : au service de l’humain, des territoires, et du vivant.
Parce qu’un futur responsable ne se décrète pas, il se forme.
Une IA qui respecte et augmente les capacités humaines sans les remplacer
Solutions adaptées aux besoins locaux et aux spécificités régionales
Engagement pour une empreinte environnementale minimale et mesurable
L’intelligence artificielle (IA) s’impose peu à peu comme un outil structurant de la transformation publique locale. Un récent rapport du Sénat (mars 2025) a dressé un état des lieux des premiers usages dans les collectivités territoriales et formulé des recommandations pour élargir et sécuriser ces pratiques
Le rapport recense plusieurs expérimentations qui illustrent comment l’IA peut améliorer l’action publique :
Ces cas d’usage montrent que l’IA n’est pas réservée aux grandes métropoles : des communes de quelques milliers d’habitants en tirent déjà des bénéfices tangibles.
Si le potentiel est bien réel, plusieurs obstacles persistent :
Pour favoriser une adoption équitable et sécurisée, le rapport propose :
L’IA peut devenir un levier de performance et de durabilité pour les collectivités locales : optimisation des ressources, meilleure qualité de service, économies environnementales. Mais son déploiement doit se faire dans un cadre clair : gouvernance partagée, sécurité juridique, sobriété numérique et acceptation citoyenne.
La réussite ne dépend pas uniquement de la technologie, mais de la capacité des élus, agents et citoyens à co-construire une IA de confiance au service de l’intérêt général.
Vous entendez parler d’intelligence artificielle partout, mais dans votre quotidien de dirigeant(e) de TPE ou d’indépendant(e), vous vous demandez : “Ok, mais moi, qu’est-ce que j’en fais ?” Bonne nouvelle : pas besoin d’être une grosse boîte pour en profiter. L’IA peut vous simplifier la vie, ici et maintenant, sans chambouler votre quotidien.
1. Gagner du temps sur les tâches pénibles
Répondre aux mêmes questions dix fois par jour ? Vous pouvez mettre en place un petit chatbot (même gratuit) sur votre site ou vos réseaux,
qui gère les demandes basiques : horaires, tarifs, disponibilités… Résultat : moins
d’interruptions, plus de temps pour votre cœur de métier.
2. Mieux comprendre vos clients
Avec des outils très accessibles, vous pouvez analyser les habitudes de vos clients et adapter vos offres ou vos messages.
L’IA peut vous suggérer ce que vos clients aiment, sans avoir besoin d’un expert des données ou de compétences
techniques avancées.
3. Anticiper au lieu de subir
Certains outils d’IA vous aident à prévoir la demande ou vos besoins en stock.
Plutôt que de réagir dans l’urgence, vous prenez un coup d’avance. Et au passage, vous évitez le gaspillage et les ruptures.
4. Créer du contenu sans y passer la nuit
Des outils de génération de texte ou d’image peuvent vous aider à préparer vos publications, flyers ou visuels produits,
surtout si vous travaillez seul ou sans ressources dédiées. Cela vous permet de gagner du temps et d’avoir une
base solide pour communiquer plus facilement, ou même pour mieux orienter un professionnel ensuite.
L’IA n’est pas magique, mais elle peut vous faire gagner du temps et de la clarté. L’important, c’est de tester des choses simples, utiles et adaptées à votre rythme. Vous verrez rapidement si ça vous aide… ou pas. Et vous pourrez ajuster.
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